La transition énergétique est un défi majeur que nous devons relever par l’innovation et l’incitation. Je m’oppose aux visions punitives et à la décroissance érigées comme projet politique. Au Conseil national, je m’engage à défendre une politique climatique positive fondée sur les axes ci-dessous.
Priorité de l'innovation et des incitatifs :
Je veux soutenir l'investissement dans l'innovation technologique et les programmes de subventions énergétiques comme moyens d’atteindre les objectifs climatiques de la Confédération. Il importe également d’encourager la formation et la reconversion dans les métiers de la transition énergétique, notamment par l’apprentissage.
Coûts raisonnables pour les citoyens :
Les coûts qu’entraînent les politiques environnementales pour les citoyens suisses doivent être prises en compte. Je m’oppose aux politiques punitives qui font peser des coûts intolérables sur les familles à faible revenu, ainsi que la classe moyenne.
Pragmatisme et croissance durable :
Il faut favoriser des approches pragmatiques et mettre en avant l'importance de trouver un équilibre entre les impératifs environnementaux et les besoins économiques. Je préconise des mesures qui minimisent les impacts sur les entreprises et les citoyens, tout en favorisant une croissance économique durable. La décroissance est une vision politique qui met en danger notre souveraineté, ainsi que notre tissu économique.
Écologie positive et opposition aux interdictions :
Je m’oppose aux interdictions ou aux réglementations excessives sans effet réel, mettant en avant la liberté individuelle et le droit des citoyens à prendre leurs propres décisions concernant leur mode de vie et leurs choix de consommation. L’écologie punitive est un projet politique visant à accroître le pouvoir de l’Etat et de l’administration sur nos vies. Nous avons au contraire besoin d’une écologie positive.
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